Le grand amour. (ft. Sablou)

IL faisait beau quand je rentra de la patrouille de l'aube. J'étais impatiens de vois Etoile Sablée alors je me dirigea vers son antre et l'appela:
-Je peux entrée ?

J'étais pelotonnée dans ma litière en ronronnant. Je dormais a moitié en repensant a cette journée passée avec mon compagnon. Justement, il était parti en patrouille de l'aube. J'avais insister pour qu'il ne parte pas, mais il est quand même parti. Je me redressa quand je senti cette odeur si douce, si paisible. Celle de Griffe Féroce. Il se tenait devant ma tanière

«Je peux entrer ?» avait il demander.

«Oui, rentre je t'en prie mon amour.» "Mon amour ? Non mais qu'est ce qu'il me prend?"

Il pénétra dans mon antre. Je ronronna en venant me frotter à lui.
« Je t'aime tu sais ? Je ne veut plus jamais être séparé de toi... Je t'aime...»
Je lui lécha la joue et m'assis contre lui.
«Ça a été ta patrouille ? Rien à me signaler ?»

-t'inquiète ma douce... Juste une bande de chats errants galeux qui nous on voler un morceau de souris mais tous va bien...
Je lui avait dis ça de cette manière car la connaissant elle aurais lancée immédiatement une patrouille...
-Je t'en pris reste comme tu es... Ne change pas mon amour...
Je lme frotter a elle en ronronnant de plaisir. Avec son doux pelage...

«T'inquiète ma douce... Juste une bande de chats errants galeux qui nous on voler un morceau de souris mais tous va bien...Je t'en pris reste comme tu es... Ne change pas mon amour...»

"Sauf que notre futur va changer à jamais, surtout si nous voulons avoir des chatons..."
« D'accord, je te fait confiance, ses chats errants ne poseront plus une seule patte sur notre territoire. je lui souris, Jamais je ne compte changer. Jamais...» Ensuite, un signe du Clan des Étoiles me parvint, trois petites boules de poils étaient pelotonnées contre une femelle. Les petits venait plus que certainement de naitre. Quand je vis une lueur de terreur dans les yeux de la femelle, ensuite dans ses yeux, se reflétait un chat, malheureusement à la silhouette familière. Mais je ne sut dire qui c'était... Je revint sur la terre ferme, j'enfuis mon museau dans la nuque de Griffe Féroce, en essayant d'oublier cette vision....

Je ressentais quelque chose de bizarre. Étoile Sablée ce tenait près de moi... Mais elle n'étais pas bien... Puis elle enfouit son doux museau dans mon pelage. Il était tous chaud... Elle était toute chaude et réconfortante. Je me détendit près d'elle. Puis je la poussa du bout du museau vers le tas de gibiers.
- Aller, tu dois manger.

«D'accord, j'y vais»
Je n'étais pas bien après mon rêve, je voulais tout raconter à Griffe Féroce, mais je préfèrerais garder ce songe horrible pour moi... Après tout, ce n'est qu'un mauvais rêve... Je sorti de mes pensées et me pris un lapin à partager avec Griffe Féroce.
«On partage ?»
Lui avais je demandé, il hocha la tête. Nous mangions notre repas devant ma tanière, tout le monde nous lançaient des regards étranges. Un peu plus tôt, nous ne savions point rester ensemble plus de dix minutes... Alors que aujourd'hui, nous partagions notre repas, fourrure contre fourrure, notre queue emmêlée...

J'avais remarquer que tous le monde nous regarder. Mais je m'en ficher. Tous ce qui compter c'était que je soit avec elle. Je l'aimais et je ne comptais pas m’arrêtais la. Car oui je l'avoue. J'ai toujours rêvais d'avoir des chatons. Et surtout d'être papa.
- Une petite sieste ne me ferais pas de mal...
Je dis ça et en même temps je me roula sur le dos.
- Tu viens faire un somme ?

«Un p'tit somme ? On a dormi presque toute la matinée! Tu es encore fatigué?»
Je céda, j'étais très fatiguée ses temps si... Je me dirigea dans ma tanière, Griffe Féroce sur les talons, nous nous allongions dans ma litière. Je lui murmura à l'oreille.
«J'espère que nous aurons des chatons un jour Griffe Féroce... Je t'aime, dors bien !»
Je lui lécha l'oreille et je m'endormis, le rêve me revint en tête, comme la dernière fois... Les chatons, la mère terrifiée, le meneur du Clan du Sang,... Toutes ses images tournait dans ma tête... Je remua toute la nuit, marmonnant dans mon soleil... Se rêve me hanta... Jusqu'au lendemain...